« Quand je dis que je serais peut-être morte dans dix ans, on me répond : « Ah ! Mais ne dis pas ça ! ». Je ne comprends pas pourquoi les gens ne veulent pas que je meurs ! ». Rires autour d’Odile, 65 ans. « Les gens veulent se cacher de la mort ». L’objectif des cafés mortels, organisés par la coopérative funéraire Syprès tous les mois à Bordeaux, est justement de lever un tabou autour du sujet.
Article paru dans la rubrique “On y était” du magazine du samedi de Sud Ouest, le samedi 19 janvier. A découvrir sur le lien ci-dessous.