Après quelques mois de disette, retour en force de la revue du mois !
Combien de temps allais-je tenir le rythme de la chronique ? C’est la question que je m’étais posée en lançant la rubrique. Trois revues, trois mois (ici, là et là), et puis basta !
C’est que le mois d’octobre s’est révélé déprimant sur le plan des piges ; c’est que le mois de novembre fut tout entier ou presque consacré à la préparation du marathon de Valence ; c’est que le mois de décembre fut en partie dévolu à l’après-marathon (bien manger, surtout ; bien boire, aussi ; et travailler, un peu) ; c’est que le mois de janvier fut harassant (mais je ne vais pas m’en plaindre).
Résumons, alors. J’ai entamé une collaboration avec le magazine Sud Ouest, publié chaque samedi sur…les cafés mortels. Un bon moyen de sortir du sport, n’est-ce pas ? Le sujet est à lire ICI. D’autres papiers sont dans les cartons.
L’estomac à peine repu des fêtes de fin d’année, le marathon culinaire s’est poursuivi avec plusieurs table à chroniquer sur Bordeaux, pour le prochain Omnivore, à paraître mi-mars.
J’ai voué l’essentiel du mois de janvier au prochain numéro de VO2 Run, dont la formule est appelée à évoluer. Un gros dossier, je ne vous en dis pas plus, mais ça va valoir le coup d’œil…
Côté publications, vous pouvez retrouver ma signature dans les deux derniers numéros de Sport et Vie : le premier dans le hors-série consacré à la danse ; le second dans le numéro de janvier-février : je suis allé interviewer l’été dernier Christophe Urios, manager du Castres Olympiques (et de l’Union Bordeaux-Bègles à compter de la saison prochaine) sur sa méthode de management, que l’on dit atypique.
Affable et disponible –pour le coup, l’image médiatique colle à la réalité-, il a pris le temps de m’expliquer en détail sa méthode singulière. Cet échange reste, aujourd’hui, comme l’un de mes meilleurs souvenirs journalistiques. A retrouver dans tous les bons kiosques (et à commander ICI sur internet).
Pour Sud Ouest –le quotidien cette fois-ci-, j’ai écrit quelques papiers, comme chaque année, sur la saison d’athlé (cross et indoor), ou le recordman du Monde du saut à la perche Renaud Lavillenie qui parle de l’UNSS. A lire ICI.
Sinon, j’ai intégré le conseil d’administration du club de la presse de Bordeaux, et le bureau, au poste de secrétaire général adjoint. Un nouveau challenge aux côtés d’une équipe pleine de bonne volonté. L’objectif ? Faire progresser et fidéliser les pigistes qui travaillent à la Tour de piges, dans un contexte où nous sommes de plus en plus déconsidérés et précarisés (cf la tribune publiée dans Libération : n’hésitez pas à la signer!).
Autre ambition : aller à la rencontre des lectrices et lecteurs, leur faire découvrir la manière dont nous travaillons. Cela devient primordial dans le contexte actuel de défiance envers les médias. L’éducation aux médias est un projet qui me tient particulièrement à cœur.
Début février, j’ai d’ailleurs eu l’occasion d’animer un atelier sur le journalisme un samedi matin durant. Aux côtés de l’association bordelaise « L’école du samedi », les élèves de CM1 et CM2 des écoles des quartiers prioritaires de Bacalan, à Bordeaux, pleins de curiosité et très enthousiastes, se sont initiés au reportage. Une superbe expérience, rafraîchissante et enrichissante !
Projet palpitant
Un autre projet, palpitant et un peu en stand by depuis quelques mois, s’est relancé fin janvier. Du journalisme, il en est à la fois proche et éloigné. L’écriture en est le fil commun. Là aussi, cela vaudra le coup d’œil, et j’espère que vous aurez autant de plaisir à lire que j’en ai à écrire.
Et bien sûr, au cœur de ce programme bien rempli auquel il convient d’ajouter les différents sujets proposés à moult médias (un reportage chez un producteur de Normandie ; par exemple, mais là, la course à obstacle reprend de plus belle), s’enchaînent les kilomètres à pied, à vélo…et en natation depuis le 30 janvier (parlons plus de mètres que de kilomètres !). J’ai choisi de tout mettre en œuvre sur les prochains mois pour voir ce dont je suis capable sur la distance (lire ICI). Cela requiert un investissement quotidien et tout concilier relève parfois de la vraie gageure.
Une autre gageure sera de tenir le rythme mensuel de la rubrique. Rendez-vous le mois prochain…ou en juin !